vendredi 9 décembre 2011

Compte-rendu fin de session

Allô !

J'adore ma session parce que j'adore mon cegep parce que j'adore tout !!!

Comme compte-rendu de fin de session à propos de ce cours, je dirais que j'ai bien aimée l'ambiance de la classe et l'enseignant aussi.

 Le seul truc que j'aime moins est au niveau du vocabulaire. Je le trouve pas asser vulgarisé. Exemple : dans le document de révision, moi et max, on a du chercher au moins 6 mots! Et je crois pas qu'on soit les moins attentifs du groupe. LOL. Alors je crois qu'il y a un pensé-acquis au niveau du vocabulaire de géo. Peut-être plus se concentrer et concentrer l'étude ou faire des rappels sur le vocabulaire vue ?

Mais, c'est seulement ça ! Hihi.

J'ai déjà hâte à la prochaine session.

Joyeux Noël !!!

mardi 15 novembre 2011

contexte géopolitique

GÉOPOLITIQUE




CONTEXTE AVANT


La Société des nations, l’ancêtre de l’ONU, ne serait jamais intervenu puisqu’elle n’avait pas le pouvoir d’intervenir dans la politique intérieur d’un pays.



De plus, les moyens de communications de la crise étaient très restreints ainsi, personne de l'exterieur n'était conscient de la famine puisque le pouvoir contrôlait l'information

La non intervention des autres pays face à l’Ukraine est surement du aussi à la force de l’armée russe, alors stimulée par la présente guerre, de peur des représailles de celle-ci.



Le gouvernement était communiste, ainsi il avait l’habitude de se débrouiller seul, de l’intérieur. Les autres pays n’intervenaient pas dans leurs affaires.


APRÈS


  Après que l’URSS fut tombée, l’Ukraine est sortie plus forte de cette catastrophe.

Le fait de se serrer les coudes en eux a augmenté le sentiment de nationalité pour les Ukrainiens.



            De plus, ils ont renforcé leur force militaire ainsi que qu’amener un vent de révolte - une philosophie de ne plus se laisser piler dessus - qui perdure encore

            Il faut ajouter que vu que la catastrophe n’a pas été connu, n’a pas été médiatisé, les conséquences géopolitiques après la catastrophe sont limités en terme de documentation générale.


Fin :)

lundi 7 novembre 2011

Compte-rendu de texte des impacts

Compte-rendu de texte des impacts
«Beaucoup de bruit pour rien à Copenhague ?»
Haeringer, Nicolas (2010), ‘’Beaucoup de bruit pour rien à Copenhague ?’’, L’État du monde 2010, Montréal, La Découverte, Boréal, p. 203-210
Durant la rencontre internationale du COP 15 de la CCNUCC sur le sommet de Copenhague sur les changements climatiques, des représentants de 192 États (illustrant bien les affrontements géopolitiques Chine/États-Unis) adoptent un traité international dans le but de stabiliser les concentrations de gaz à effets de serre dans l’atmosphère.

Ce traité indique, pour la première fois, que l’environnement est une responsabilité sociale.
Le premier cycle de négociations a débauché sur le protocole de Kyoto.
L’initiative «Hop-enhague» a mit en doute la validité des travaux scientifiques censée éclairer les décisions.


L’«accord de Copenhague» reconnait l’importance de limiter le réchauffement climatique à 2°C, conformément aux recommandations du GLEC.
Copenhague fut également le théâtre d’une intense mobilisation sociale civile, sommet alternatif tel que KlimatoForum et manifestations de rue.
Les militants ont unanimement dénoncé le sommet de Copenhague comme un fiasco politique, cependant il a permis la «fusion entre écologistes et les altermondistes», donnant ainsi aux questions environnementales un aspect plus politique.



Il donna aussi une occasion aux climato sceptiques de se faire entendre contribuant à la surchauffe médiatique entourant le sommet.
Des opinions s’opposent, celles de causes humaines et celles de causes non-anthropiques (naturelles).
Le sommet de Copenhague n’a donc pas été à la hauteur des attentes.
Les pays qui n’ont pas signer l’accord affirment avoir subi des pressions.


Est-ce que, sans pression, ils auraient alors tous signés !?
C’est ce que nous verrons après la COP 16, qui doit se tenir à la fin 2010 à Cancun…

dimanche 30 octobre 2011

Analyse des mesures d'urgences et de la réaction des gouvernements


En 1933, la famine est omniprésente pour tous les habitants ukrainiens…


Cette même année, l'Ukraine obtient au total 501.000 tonnes de céréales sous forme de prêts, soit 7,5 fois plus qu'en 1932 (65.600 tonnes). Les régions russes (à l'exception du Kazakhstan) reçurent 990.000 tonnes, c'est-à-dire, seulement 1,5 fois plus qu'en 1932 (650.000 tonnes).


Au cours de cette année, le centre accorda donc à l'Ukraine autant d'aliments et de céréales que l'ensemble de la Russie soviétique en avait obtenus en 1922 de toutes les organisations internationales participant au programme de lutte contre la faim en Russie. 


Pourquoi le centre envoya-t-il précisément en Ukraine une quantité aussi importante de céréales en 1933? 
Parce que c'est précisément dans les régions céréalières de cette république que la situation se révéla la plus compliquée, menaçant de faire échouer la campagne politique, mais les dirigeants staliniens ne pouvaient tolérer une telle situation en raison du rôle particulier joué par cette région dans la production céréalière de l'URSS.




Concernant la situation en Ukraine en 1932, il convient de souligner que les dirigeants ukrainiens n'informèrent pas leurs supérieurs hiérarchiques de l'étendue famine constatée dans leurs régions. 
Ils assument donc dans une grande mesure la responsabilité de l'envergure de cette famine et de la réaction tardive du centre.


En témoigne notamment avec éloquence une lettre adressée à Staline par le secrétaire général du Comité central du Parti communiste ukrainien Stanislav Kossior le 26 avril 1932: "Nous recensons certains cas isolés de famine et même certains villages affamés, mais il ne s'agit là que du résultat de la maladresse des autorités locales et d'abus, en particulier dans les kolkhozes. 
Il convient de rejeter catégoriquement tout débat concernant une "famine" en Ukraine".


Selon nos estimations, la famine emporta en dehors de l'Ukraine entre 4 et 5 millions de vies (peut-être plus) en 1932 et 1933. 
Il y a donc tout lieu d'affirmer que la famine de cette période est le résultat de la politique antipaysanne du régime stalinien, de ses erreurs et de ses mesures inhumaines et criminelles envers les paysans.

Celles-ci eurent pour conséquence la destruction de l'agriculture du pays et la propagation de la famine. 


Personne n'avait planifié la famine, mais le régime stalinien en profita pour forcer les paysans à travailler dans les kolkhozes et pour imposer sa ligne politique. 



Il n'y eut aucun génocide du peuple ukrainien, mais une tragédie commune des Ukrainiens, des Russes et d'autres citoyens du pays, dont les dirigeants soviétiques portent la responsabilité.

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Billet de compte de rendu


Au sujet de mon cours de géo, les impacts des grandes catastrophes sur l’humain, je dirais que l’aspect positif pour moi, est de comprendre le fonctionnement de la Terre, son cycle et sa science. J’apprécie l’ambiance générale du cours. J’aime aussi les explications par concepts imagés (Donner des exemples concrets plus facile à comprendre).




Par rapport à l’ensemble de ma session, je suis très satisfaite du plan académique et social. Je crois que c’est surtout du à mon attitude positive générale.
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dimanche 23 octobre 2011

Actualité du 22 octobre 2011

UNE PIÈCE À CONVICTION POUR INCULPER UN VOLCAN

Une pièce volcanique a été repêchée, sur l'île El Hierro, dans l'archipel des Canaries, appartenant à l'Espagne et situé dans l'océan Atlantique. La région a tremblé sous des milliers de séismes, depuis le 19 juin 2011, ce qui est attribué au magma qui se comprime vers la surface terrestre et à l'éruption volcanique sous-marine.


Journal de Montréal, 22 octobre 2011

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samedi 8 octobre 2011

Actualité du 5 octobre 2011

° THAÏLANDE °

Les inondations tuent 220 thaïlandais
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Les pires inondations depuis des décennies en Thaïlande ont tué 224 personnes, submergeant de nombreuses régions du pays, notamment une partie de la cité historique d'Ayutthaya. Lors des deux derniers mois, 58 des 77 provinces du royaume ont été inondées et 25 sont toujours gravement touchées.


Des millions de personnes ont été touchées par les intempéries. Le gouvernement a annoncé le déploiement d'environ 10 000 soldats, 500 véhicules militaires et plus de 100 bateaux pour aider les sinistrés.

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Journal de Montréal, 5 oct 2011